La page blanche

Le syndrome de la page blanche produit son effet chaque minute et chaque heure.

Tant d'idées se percutent et se bousculent au portillon de l'esprit et de l'imaginaire qu'il est difficile d'en extraire une parmi tant d'autre. Toutes sont plus meilleures le unes que les autres. Toutes ont leur bon coté, et leur courant d'idée qui véhicule un état de pensée. Tout dans ce monde est bon à prendre comme une opinons ou un avis. Le fait qu'il ne nous plaise pas, n'est pas du fait de l'émergence de ce qui est exprimer, mais du à notre formation intérieur et à notre éducation de le recevoir ou pas. Et aussi dans l'état d'esprit dans lequel nous nous trouveront quand le message est diffuser.

Toute la sagesse est dans notre capacité de nous ouvrir intérieuirement pour recevoir la communication dans son état brut et ensuite de la purifier pour en retirer la substantifique moelle, son intrinsèque discours.

Ce qui nous fait défault, c'est ce manque de discernement profond. C'est ce qui courre à notre déchéance. Enfin, tous nous sommes libre de pense et de s'exprimer. Tous nous sommes libre de recevoir un message ou pas. Et tous, nous avons le devoir de tolèrer l'autre dans son abilité de ne pas notre comprendre, et c'est notre devoir de lui ouvrir les voies de cette compréhension.

Ainsi, les caricatures, le nucléaire et l'identité partisane créent notre différence et notre valeur fondamentale. S'ouvrir et s'ouvrir toujours plus à ce monde qui devient de plus en plus petit et de plus en plus compliquer, mais qui reste immense. Une immensité a découvrir. Une immensité de connaissance et de savoir de l'autre a continuer de découvrir.

C'est notre capacité et notre soif de connaître qui nous fait avancer, puissions nous ne jamais tout connaître et de ce fait avoir l'espoir d'avancer dans l'infini, même au delà de notre fin, puisque a ce moment un autre périple commencera pour l'éternité...

John