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7 septembre 2010

info maya

INFO SUR LES ORIGINES DES MAY (wikipedia)

Les origines des tribus mayas les plus anciennes se perdent dans la nuit des temps. Les manuscrits indigènes du XVIe siècle ont oublié l'emplacement du berceau de la civilisation maya, que ce soit dans le Chilam Balam (écrits dans la péninsule du Yucatán), ou dans le Popol Vuh des Quichés, la branche des indiens mayas du Guatemala. Et même le premier chroniqueur espagnol des mayas, le frère Diego de Landa (1566), n'a pu en mentionner clairement la situation. En tout état de cause, les faits se réfèrent aux Mayas du Yucatán, de l'ère classique, et non aux vieux mayas localisés dans le sud (Chiapas, Guatemala et Honduras), dont la civilisation s'est éteinte quelques siècles avant l'apogée des cités de la péninsule telles que Chichen Itza, Uxmal et Sayil. Nous savons[réf. nécessaire] que dans les temps très reculés, les Mayas vivaient sur le littoral atlantique du Mexique, d'où ils descendirent vers l'Amérique Centrale en remontant le Río Usumacinta pour arriver au Petén. Un vieux groupe maya, les Huastèques, resta cependant dans le nord, dans la région allant de Veracruz à Tamaulipas. C'est peut être l'expansion des Nahuas qui coupa en deux le peuple maya en rejetant un groupe au nord et l'autre au sud. Les groupes rejetés vers le sud sont ceux qui développèrent la grande civilisation maya. Au commencement de la période historique, ils vivaient dans un triangle délimité par Palenque dans le Chiapas, Uaxactun, au Guatemala, et Copán au Honduras, une aire très importante avec des voies de communication très difficiles au milieu de la jungle, traversée par de grandes rivières, comprenant le bassin de l'Usumacinta, le Petén guatemaltèque et les vallées du Motagua et du río Copán.

On distingue généralement trois périodes dans la civilisation maya : le Préclassique (de 2600 av. J.-C. à 250 apr. J.-C.), le Classique (de 250 à 900), le Postclassique (de 900 à 1521), auxquelles on rajoute parfois le Classique final (de 800 à 900), que certains auteurs appellent Épiclassique[4], une époque de transition pendant laquelle les cités des Basses-Terres auraient été abandonnées et celles du nord du Yucatan se seraient développées. Les dates du début et de la fin de chacune des trois périodes peuvent en outre varier d'un siècle selon les auteurs[5].

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10 octobre 2008

Sagesse masculine

Sagesse masculine

> · Quand j'avais 14 ans, je souhaitais un jour avoir une petite amie.
> · A 16 ans, j'ai eu une petite amie, mais la passion n'existait pas. Je décidais alors de trouver une femme passionnée, qui puisse me donner l'envie de vivre. · A l'université, je suis sorti avec une fille passionnée, mais trop émotionnelle.
> Tout était tranchant, c'était la reine des drames, elle pleurait tout le temps et menaçait de se suicider. Alors j'ai décidé de trouver une femme stable.
> · Quand j'ai eu 25 ans, j'ai trouvé une femme stable, mais lassante.
> Elle était totalement prévisible et rien ne l'excitait. La vie fut si pénible que je décidai de chercher une femme exaltante.
> · A 30 ans j'ai rencontré la femme exaltante, mais je n'ai pu suivre son rythme. Elle allait d'un côté à l'autre sans jamais s'arrêter. Elle était impétueuse et flirtait avec n'importe qui, elle me rendit misérable autant qu'heureux. Au début c'était amusant et stimulant, mais sans aucun avenir. Alors j'ai décidé de trouver une femme un peu plus ambitieuse.
> · Quand j'ai eu mes 35 ans, j'ai trouvé une fille intelligente, ambitieuse, les pieds sur terre. Je décidai de me marier. Elle était tellement ambitieuse qu'elle a demandé le divorce et pris tout ce que j'avais.
> · Aujourd'hui, j'aime les connes avec de gros nichons...

10 octobre 2008

Pénis

LE SALAIRE DU PÉNIS...

LE PÉNIS...

Moi le Penis, je déclare demander une

augmentation de salaire pour les raisons
suivantes:

Je travaille physiquement.

Je travaille à de grandes profondeurs.

Je plonge tête première dans tout ce que je fais.

Je n'ai pas congé les fins de semaine ni les jours
fériés.

Je travaille dans un environnement humide.

Je travaille dans un endroit sombre et avec une
mauvaise ventilation.

Je travaille à des températures extrêmes.

Mon travail m'expose à des maladies
contagieuses.

Sincèrement, Le Penis



L'ADMINISTRATION...
Après avoir étudié votre demande et avoir
considéré les arguments que vous avez soulevés,
l'administration rejette votre requête pour les
raisons suivantes:
Vous ne travaillez pas 8 heures d'affilées.
Vous vous endormez après de courtes périodes
de travail.
Vous ne suivez pas toujours les instructions
données par l'administration.
Vous ne demeurez pas toujours dans la zone de
travail assigné et êtes souvent surpris à visiter
d'autres endroits.
Vous ne prenez pas d'initiative.
Vous devez être sous pression et stimulé afin de
commencer à travailler.

Vous laissez le lieu de travail sale à la fin de
votre quart de travail.

Vous n'observez pas toujours les règles de
sécurité, telles que porter l'équipement protecteur approprié.

Vous allez prendre votre retraite bien avant
d'avoir 65 ans.

Vous êtes incapable de faire deux quarts de
travail de suite.
Vous quittez votre lieu de travail avant d'avoir
terminé la tâche assignée. Et si ce n'était pas
suffisant, vous êtes constamment vu rentrer et
sortir du lieu de travail avec deux sacs à l'aspect
douteux.

Sincèrement, L'Administration

23 août 2008

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23 août 2008

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23 août 2008

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23 août 2008

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23 août 2008

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23 août 2008

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23 août 2008

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23 août 2008

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28 juin 2008

liens

Depuis le 1er juin de cette année, Je suis parti pour un périple à vélo sur plusieurs années. Mon but étant de parcourir tous les pays des Amériques avec ce moyen de transport. exactement les 23, du nord au sud et d'Est en Ouest, De Calgary au Cap Horn via Miami, Cayenne, Boa Vista et Québec...

Je vous invite à me retrouver sur le site suivant pour suivre mes aventures :

les3Ameriques.canalblog.comAmeriques.canalblog.com

17 avril 2008

Eclairage...

l

Qu’est-ce que la négritude ?
sous la direction d’Allison Connolly

La négritude est un mouvement à la fois littéraire et politique, fondé à Paris dans les années 1930 par des étudiants noirs des Antilles et de l’Afrique. Les fondateurs du mouvement, Aimé Césaire, Léopold Senghor, et Léon Damas, espéraient éliminer les barrières entre les étudiants des colonies françaises. Ils s’inquiétaient non seulement de la collaboration entre les Noirs du groupe, mais aussi de l’unité de leur race. Ces inquiétudes ont inspiré la négritude.

Les fondateurs de négritude étaient en partie inspirés par leurs rencontres avec les membres de la « Harlem Renaissance », comme beaucoup d’entre eux vivaient en France pour s’échapper au racisme et à la ségrégation aux Etats-Unis. Parmi d’autres, ils ont rencontré les écrivains Langston Hughes et Richard Wright et les musiciens jazz Duke Ellington et Sidney Bechet.

La Négritude se veut universelle, un mouvement qui embrasse toutes les populations noires du monde. Or, c’est un mouvement complexe qui dénonce le colonialisme, rejette la domination occidentale, et défend la notion du « soi noir ». C’est à travers la littérature que Césaire et Senghor commencent à trouver leurs voix politiques, et chacun joue un rôle important dans sa région à la suite de la décolonisation .

La plupart d’artistes et d’intellectuels actuels n’utilisent plus les théories de la négritude. Or, personne ne nie l’importance de la Négritude dans d’autres mouvements tels que la Créolité .

Ce site, qui sert d’introduction à la Négritude, examine le mouvement dans sa diversité. Destiné aux étudiants anglophones étudiant le français depuis au moins deux ans, ce site est aussi utile pour ceux qui cherchent une introduction à la culture africaine. Les liens, la musique, et les articles complémentent les sélections littéraires et donnent une vision plus vaste du mouvement.

17 avril 2008

extrait...

Hello !

J'ai relus tes 2 mails avec grande attention en ce jour. Ils sont tellement riches en informations, que la relecture n'était pas superflue...Je te remercie de me faire participer à ton aventure.

Je vois que la "magie" du voyage et de la découverte (des lieux et des gens) t’a encensé majestueusement... Et, s'enivrer de cette magie, n'est pas un mal, mais bien un foyer qu'il faut entretenir pour que la flamme nous réchauffe , donc, en contrepartie un labeur éternel pour nourrir l'ennivrance de la découverte...

Ta vie change et l'éloignement de la famille, des proches et des amis sont cachées au début par tant de nouveautés quotidiennes. Du fait que les journées sont trop courtes. Tu as fait de superbes rencontres. Des gens uniques. Des personnages hauts en couleurs. Et, et surtout, l'or de l'or du monde à mes yeux, des gens avec une histoire. Je devrais dire avec leurs histoires et leurs vécus. AUTHENTIQUE ! Ce que je t'envie dans ces moments là. J'ai vécu la même chose à Cuba et à Tampa. Mais Cuba m'a laissé bien plus de trace dans la mémoire. Comme la participation à un rite de purification et du lavement d'un envoûtement. Mais cet homme d'un âge respectable avec ses histoires de la révolution Cubaine et du passé de l'île. Homme au charisme sans fond. Derrière le regard tendre, se cache la vision d'un passé dur.

Et à Tampa, un retour en enfance, que dis je ! au siècle passé. Dans le "blue ship", 5 musiciens noir, vieux, très vieux, forme l'orchestre qui joue la musique le la vieille Orléands. Un pur régal pour les yeux, les oreilles et l'esprit. Moment éphémère mais au combien jouissif qui marque au fer rouge la mémoire de l'homme que je suis. Voilà pour les souvenir.

Toi, tu en es déjà rempli de par ta profession. Une richesse est en toi et une autre, dans la continuité, s'offre à toi !

Tout petit garçon déjà, la sagesse des "vieux" m’attirait. A la sortie des écoles, je me rendais chez eux et j'avais souvent les 4 heures servies. Et une dame, m'a mit une pièce dans ma main. Ferme là ! Me dit elle. Ce que je fis. Ouvre la, me dit elle ! Et hop elle me prit la pièce... Et sa morale, qui certainement à laissé ces traces est celle-ci : ce que tu as dans la main, tous le monde peut te le prendre, et ce que tu as dans la tête, ça, personne ne le peut...

Ca peut paraître futile dit comme ça, mais quand tu es tout jeune, c'est différent. Et cette personne n'est pas venue comme par hasard dans ma vie. Les gens que l'on rencontre à un moment ou un autre, sont le fruit du destin de notre chemin de vie. Tour à tour, nous sommes les jalons de quelqu'un et une personne le notre... Ainsi est peut être le chemin de la vie... Dans ce monde où dans un autre parallèle, ailleurs, ou en voie de naître... Qui sait ?

La certitude que ton choix de vie est une grande expérience, de grands moments inoubliables faits de misères et de joies n'est pas le fruit du simple hasard, mais bien la suite de ton chemin de vie.

Tes messages sont pleins de chaleur et de rencontres. Aussi, de solitude, solitude de l'éloignement. C'est ainsi et c'est la contre partie plus sombre de l'autre ensoleillée.

Et dit moi si tu ressens le phénomène "étranger". Sur les trois dernières années, j'en ai vécu plus d'une en Thaïlande, où je construis mon futur après mon retour. Ici comme partout ailleurs, c'est moi l'étranger. Maintenant, je sais un peu plus ce que veut dire "intégration" "étranger" "culture" "différence sociale" et ainsi de suite... Vis tu les même choses et les sentiments ? C'est beau et troublant à la fois !

Ce qui m'a vraiment heurté dans tes récits, c'est l'histoire de ce jeune qui à été Lyncher ! Ca me rappelle une scène du film "GANGS OF NEWS YORK" où un noir subit le même sort. Rien que dans le film, la scène me heurte. Alors, que tu dis qu'en 2007 ça se réalise encore, je ne peux le concevoir et l'Homme est ainsi ! Résigné à croire que nous sommes tout juste sortit de la préhistoire sauvage...

Ici, en Thaïlande, les chauffeurs qui renversent quelqu'un, vont voir s'il est mort. Si ce n'est le cas, il lui repasse dessus. Cette pratique, je l'ai vue de mes yeux. Sans commentaires... C'est comme tu le dit, la valeur de la vie n'est pas la même. Le Thaïlandais, sont similaire au Boliviens. Seul le moment présent est valable. Demain, c'est un autre jour. Se nourrir ce jour est vital et essentiel tout au long de la journée. Leur future, s'écrira dans le moment opportun. Ainsi va la vie.

Le jour du départ approche. J'ai demandé à la police du commerce pour faire le départ de la place Pestalozzi et pouvoir offrir thé et croissants au personnes présentes. Autorisation accordée. Normalement, je serai en Thaïlande jusqu'au 22 mai. Mais mon père étant bien malade, j'ai fais le nécessaire pour rentrer plus vite. Profiter de lui. Aider ma mère. Donc le retour est pour le 26-27 avril. Je mettrais aussi ce temps à profit pour peaufiner la préparation physique et matérielle. Je sais que quelques personnes m'accompagneront en vélo jusqu'à la frontière franco-suisse.

Je te souhaite encore plein de bonheur dans cette région du monde. La langue viendra sans même que tu t'en rendre compte. C'est inné chez l'homme.

Reçoit mes amitiés.

Alain

8 avril 2008

vacances in spain

Dès mon premier weekend, nous sommes allés tout proche des pyrénnées, et voici où nous avons dormi durant deux nuit. Les températures étaient plutot froide et il y avait du brouillard le matin...

Paysages et décors très naturels et magnifiques...

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Le coin cuisine avec deux comparses très important...

Gaffa qui allumes le réchaud et Pédro qui regarde. Ce dernier m'a beaucoup plus, un vrai de barcelonne mais aussi un vrai montagnard. Pour la petite histoire, il est revenu en urgence l'été dernier de l'Hymalaya à cause de gelures aux doigts et aux orteils. J'ai vu et écouté son expérience avec grande attention. EMOUVANT ET TOUCHANT

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la coupe du bois pour le chaud foyer du soir

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et le gonflage des pneus pour une superbe randonnée à travers les montagnes... vraiment superbe...

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26 février 2008

PHILO

Le jugement révèle un état d'esprit statique.

Le mental juge sans cesse
car le fait d'être en mouvement
est toujours hasardeux et inconfortable.

Soyez très courageux,
ne cessez pas de croître,
vivez dans l'instant,
restez simplement dans le courant de la vie.

Osho

26 février 2008

Le navet, PHILOSOPHIE

On risque de tout perdre en voulant tout gagner

Un pauvre journalier avait récolté dans son potager un navet d'une grosseur extraordinaire et qui faisaitNum_riser0008 l'admiration de tout le monde.
"Je vais le porter au château, dit-il, et en faire hommage à M. le Comte, car il aime bien que l'on soigne les jardins et les champs."
Il le porta donc au château. Le seigneur le remercia beaucoup de son attention et lui donna trois pièces d'or.
Un fermier du même village, qui était fort riche, mais en même temps très avare, entendit parler de ce qui s'était passé.
"J'ai un veau superbe, se dit-il ; je vais à l'instant même le conduire au château. Si M. le Comte a donné trois pièces d'or pour un misérable navet, combien ne m'en donnera-t-il pas pour un veau comme le mien ?"
Aussitôt il passa une corde au cou de l'animal, le mena au château et pria le seigneur de l'accepter. Mais le comte, comprenant fort bien la cause qui faisait agir l'avare, refusa d'accepter le présent.
Cependant le fermier insistait et continuait de supplier le seigneur de ne pas refuser un si modeste hommage : "Eh bien, dit-il, puisque vous le voulez absolument, j'accepte votre cadeau. Mais comme vous êtes si généreux envers moi, je ne veux pas l'être moins envers vous. Aussi, je veux vous faire un présent qui m'a coûté deux fois et même trois fois la valeur de votre veau."
Après avoir ainsi parlé, il offrit au paysan interdit et consterné le gros navet, qu'il avait reçu la veille.

26 février 2008

L'effaroucheuse de corbeaux

L'effaroucheuse de corbeaux est une petite fille courageuse qui vient en aide à ses parents en gagnant deuxNum_riser0001 sous, dix centimes par jour. Elle part de bon matin et va offrir ses services aux maraîchers de la banlieue ; quelquefois elle fait plus de trois lieues à pied pour arriver chez son client. Celui-ci lui donne pour besogne de se planter au milieu de ses carrés de légumes et de chasser les moineaux, les corbeaux, les oiseaux pillards en agitant son mouchoir noir ; c'est une tâche très fatigante, et nous vous avons dit plus haut combien elle est payée. Mais la petite qui n'est point fainéante s'en acquitte avec zèle et, à la tombée du soir, elle retourne chez elle toujours à pied. Quelquefois, on lui donne les restes de la table. Pauvre enfant !

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